Longtemps considérée comme un secteur mineur, la culture a été souvent reléguée au second plan, même dans le choix d’un métier ou d’une profession.
Aujourd’hui l’industrie culturelle s’affirme de plus en plus à travers le monde, et particulièrement dans les pays en développement comme le notre, ou l’art émerge sous plusieurs formes d’expression .l’organisation de spectacles attirant un public important fait de la culture une activité économique avec laquelle il faut désormais compter.
Parmi ces genres en vogue, l’humour est celui qui, bien que mêlé a la vie quotidienne et variable d’une activité économique à une autre, se professionnalise au moyen des medias en franchissant allégrement les frontière, les barrières linguistiques et sociétales.
Dans ce cadre, le mérite de ZACH, manager et promoteur « des brûleurs d’ennuies », est qu’il allie aisément l’esprit de créativité et le sens de l’humour.
Au-delà de ses valeurs ludiques et pédagogiques qu’on lui reconnaît, l’humour, dans ce climat de retour de la paix, contribue à rassembler sans distinction, toutes les couches sociales de notre pays, en les invitant à la communion, à la réconciliation et à la fraternité.